Construire votre projet de création d'entreprise

Certains portent un projet de création d’entreprise depuis leurs études quand d’autres se découvrent une vocation d’entrepreneur sur le tard ou au détour d’une mésaventure professionnelle… Quelle que soit la durée de maturation du projet entrepreneurial, certaines étapes sont incontournables pour sa concrétisation.

La première question à se poser est de savoir si votre idée sera viable ? Comment évaluer en pratique la faisabilité de votre projet ? NetPME met à votre disposition un outil exclusif d'évaluation qui vous donnera les premiers éléments de réponse et vous permettra de vous poser les bonnes questions avant d'aller plus loin.
Viendra ensuite l'incontournable étape du business plan. Sur 3 ou 5 ans, il a pour objectif de traduire en chiffres les principales hypothèses de votre projet et de produire un dossier de présentation en bonne et due forme. Là encore, NetPME vous donne accès aux meilleurs modèles de business plan pour vous faire gagner du temps.

D'une façon générale, retenez que les bons projets ne sont pas systématiquement les plus innovants. Les idées qui marchent répondent le plus souvent à un besoin déjà existant mais non pleinement satisfait. Et l’innovation n’est pas toujours là où on le pense. Si les médias se concentrent sur les nouveautés des start-up high-tech, la plupart des créateurs d’entreprises ne proposent pas un produit ou un service nouveau. Ils essaient simplement de se différencier par rapport aux acteurs existants, soit en se positionnant sur la qualité du produit ou du service, soit en desservant une zone géographique jusque-là mal couverte par les concurrents historiques, ou encore en ciblant une nouvelle clientèle….

Notre conseil : si vous avez déjà une expérience professionnelle dans un secteur, commencez par prospecter dans ce domaine. Vos chances de réussite seront d’autant plus fortes que vous maîtriserez l’environnement dans lequel vous évoluerez. Les aléas de la création d’entreprise sont déjà assez importants sans se lancer dans un domaine totalement inconnu.

Le volet financier du business plan

Les aspects rentabilité et flexibilité financière sont au cœur du business plan. Ils sous tendent des questions de fond telles que : Comment apprécier et prendre en compte la réversibilité d’un projet ? Existe-t-il un business model ? Gros plan sur la synthèse financière...

Avantages et inconvénients de la reprise d’entreprise

La reprise d’entreprise peut être un bon moyen pour devenir son propre employeur. Reprendre une TPE ou une PME présente de nombreux avantages mais aussi quelques inconvénients à connaître avant de se lancer.

Les études de marché qualitatives, quantitatives et sectorielles

Lorsqu'on a bien défini son projet économique, une étape est clef pour vérifier sa cohérence et bien connaître son marché : l'étude de marché.

Business plan : les questions à se poser

S'il n'existe pas de plan idéal dans la réalisation d'un business plan, en revanche une certaine logique s'impose pour ce document qui fixe vos objectifs commerciaux, financiers et votre stratégie pour les atteindre.

Qu'appelle-t-on un apport en industrie ?

Les apports en industrie permettent d'attribuer une part des bénéfices à une personne qui, bien qu'elle ne fasse l'apport d'aucune somme d'argent ni d'aucun bien en nature, fera profiter la société d'une activité future (ses services ou son travail, qu'il soit manuel ou intellectuel). L'apporteur en industrie s'engage donc envers la société à réaliser le travail promis pour la durée (qui peut être la durée de la société ou une durée plus courte) et dans les conditions fixées au moment de l'apport. Cette obligation de faire va donc survivre à la création de la société et se prolonger dans le temps. Comme ils ne correspondent à aucun bien matériel susceptible d'être saisi par les éventuels créanciers de la société, les apports en industrie ne concourent pas à la formation du capital social (exemple: si, à la création d'une société, un associé apporte 10.000 euros et qu'un autre associé effectue un apport en industrie valorisé à 5.000 euros, le capital social n'est que de 10.000 euros). S'ils ne concourent pas à la formation du capital social, les apports en industrie donnent néanmoins lieu à l'attribution de parts et donc à une quote-part des bénéfices et de l'actif net (à charge pour l'associé de contribuer aux pertes, s'il venait à en exister). ... en savoir plus